Si l’architecture d’un couple est constituée de chaque partenaire, l’âme de celui-ci demeure dans le lien, la relation. Cependant bien qu’immatérielle, et d’une certaine manière virtuelle, la relation est assujettie aux avatars du temps : l’usure, la dégradation, et parfois à la mort.
Cette action inévitable du temps ne correspond pas seulement aux complexités du quotidien, mais également à cette partie d’histoire personnelle, cette part « d’infantile en nous qui fait retour », avec laquelle chaque partenaire contribue au contenu positif ou négatif de la relation.
Ainsi, toute difficulté dans un couple, qu’elle prenne le chemin de la sexualité, la mésentente, les crises, ou la communication, est le fruit d’une élaboration partagée, d’une stratégie commune, d’un travail de partage et de collaboration réussit dans le négatif. C’est dans ce sens là que la thérapie de couple vise la mise en lumière de cette « partie d’ombre » qui participe et nourrit la problématique commune dans la vie du couple : car si la relation est assujettie aux avatars du temps, de la même manière elle est susceptible de transformation, de changement.

Quels problèmes peut trouver un couple ?
Des difficultés de communication, une sexualité insatisfaisante, des divergences au fil du temps, des conflits liés à l’éducation des enfants, l’arrivé d’un enfant dans le couple, la parentalité dans une famille recomposée, les infidélités et les blessures émotionnelles, les crises consécutives aux étape de vie, la retrouvaille lors du départ des enfants, entre autres.

La fréquence des séances
Le couple peut se retrouver en consultation toutes les deux semaines. Cette fréquence permet aux partenaires de métaboliser les « mise en lumière » et les élaborations respectives qui constituent le cœur du travail thérapeutique du couple. La durée d’une séance est d’une heure.